Bonjour, bonsoir chers lecteurs.

Aujourd'hui je vais donc parler d'un sujet sombre qui a frappé Londres au XIXème siècle, Jack L'éventreur (en même temps c'est dans le titre).

Je tiens d'abord à préciser que je vais faire un article sans image des victimes, en effet, Jack est un sujet assez noir et les image à son sujet peuvent choquer beaucoup de gens (mais vous êtes libres de taper "jack l'éventreur" sur google image).

En revanche il y aura quand même certains détails je vais pas que citer leur nom. Cependant cela peut aussi choquer donc veuillez sauter la partie sur ses  victimes si vous êtes très sensibles.

Maintenant que c'est dit on peu aborder les choses sérieuses.

Son Histoire :

      Jack l'éventreur (Jack the ripper en anglais) était donc un tueur en série qui a commis ses crimes dans le quartier de Whitechapel sur des prostituées occasionnelles du 31 août 1888 au 9 novembre de la même année. Ses crimes ont été d'une rare violence, et ont marqué l'histoire de Londres.

Les moyens de l'époque pour trouver le coupable d'un crime étant limités, le nombre de ses victimes reste assez flou, mais beaucoup s'accordent à lui assigner 5 victimes avérées.

Ses victimes :

Sa première victime fût donc Mary Ann Nichols tuée dans la nuit du 31 août 1888 à l'âge de 44 ans, elle a été retrouvée entre 3h30 et 3h45 du matin la gorge tranchée et plusieurs fois poignardée.

Nous avons ensuite Annie Chapman tuée le 8 septembre 1888, égorgée et presque décapitée, les intestins sur l'épaule droite, et l'appareil génital était manquant.

Vient ensuite Elizabeth Stride dite "la chanceuse" par la presse de l'époque car ayant été dérangé par un témoin, Jack n'aurait eu le temps que de l'égorger, elle n'a donc pas été éventrée. (parler de chanceuse pour une victime c'est quand même exagéré je trouve)

Viens ensuite Catherine Eddowes tuée et mutilée le 30 septembre 1888. Elle a été complètement défigurée, éventrée "comme un cochon à l'étalage", et elle a subit presque comme Annie Chapman. (j'ai pas envie d'écrire ça 2 fois)

La dernière victime de Jack, Mary Jane Kelly tuée le 9 novembre 1888 vers 3h du matin. Ce meurtre sera le dernier de Jack et le plus sanglant, violent et dégueulasse qu'il ai commit . Vous comprenez que je ne mette pas les détails de l'autopsie (consultez cependant wikipédia sur jack vous aurez droit  aux détails et aux photo). 

Pour citer d'autres noms, on a les enquêteurs qui se sont occupés de l'affaire comme Frederick Abberline, William Smith etc...

L'affaire de l'éventreur est intéressante de part le fait que Jack n'a jamais été arrêté (officiellement en tout cas) et sont identité reste encore aujourd'hui un grand mystère non résolu, bien qu'il a beaucoup de suspects potentiels.

Dans tous les cas, Jack aura laissé, une trace sanglante dans l'histoire de Londres.

Parlons maintenant des adapatations de Jack.

Il y a eu toute une ribambelle d'apparition de Jack dans divers médias que ça soit des jeux vidéo, des manga, des livres et des films, mais je vais m'attarder uniquement sur un seul film : From Hell (film adapté de la BD du même nom)

Le film est d'Allen et Albert Hughes, et nous propose de suivre l'affaire de l'éventreur aux côtés de Frederick Abberline (Johnny Depp).

La difficulté d'un film sur Jack, c'est que soit c'est un documentaire pas très passionnant soit c'est un film dont on connaît déjà la triste fin: jack tue mary jane kelly et disparaît.

Cependant, bien que la fin de ce film soit triste, il y a des rebondissements très interressants sur la fin. Le film exploite une des diverses pistes sur Jack qui est je dois le dire particulièrement bien pensée (pour un film en tout cas). 

Pour le reste, le film est bien rythmé et suis les meurtres des 5 victimes avérées de Jack mais sans pour autant montrer trop de scènes gores (le gore est bien dosé quoi).

Donc si vous vous faites une soirée dvd inclure ce film dans le programme est une bonne idée (sauf si le thème de la soirée est les film d'amour à l'eau de rose ^^)

et pour finir : le point culture de linksthesun sur jacky :

C'était Benj Oroboro, à une prochaine fois.

PS: promis le prochain article parlera de quelque chose de moins horrible. 

Bonjour, bonsoir chers lecteurs.

Aujourd'hui, entre 2 phases de révisions, voici la dernière partie de l'article sur la licence Devil May Cry, et c'est donc avec DmC : Devil may Cry que je vais conclure cette série d'article.

Alors, ce jeu étant un reboot, il se situe hors des 4 précédents opus, cependant on pourrait le placer plus ou moins au niveau de DMC3 à ceci près qu'on va se friter avec Mundus. 

L'histoire est la suivante :

Dante est le fils de Sparda, un démon, et d'Eve, un (une ?) ange. De par cette hybridation, Dante est donc un Nephilim. Armé de votre épée Rébellion et de vos deux flingues Ebony et Ivory, vous allez donc vous insurger contre Mundus et ses hordes de démons aux côtés d'une mystérieuse organisation, l'Ordre.

Cependant la tâche ne sera pas aisé, en effet : Mundus contrôle le monde grâce à la dette, et il contrôle les média.

De ce fait, il a un contrôle total sur la société et ce qu'elle pense.

Voilà pour l'histoire. 

Alors il est vrai que les fans invétérés de la licence ont plutôt eu cette réaction en apprenant la venue de ce reboot :

Mais je vous rassure, ce jeu n'est pas aussi mauvais qu'on peut le penser, il est même excellent si on fait abstraction de ses prédécesseurs ^^

Présentons un peu les protagonistes :

En premier, le nouveau Dante :

Il est peut être un peu moins charismatique et nonchalant que sont alter ego, mais il garde un côté rock'n'roll tout à fait appréciable et balance toujours de bonnes répliques au bon moment. Il vit à l'écart de la société dans sa caravane (on est loin de l'agence devil may cry) jusqu'à sa rencontre avec Kate, une membre de l'Ordre, qui sera le début de son combat contre Mundus.

Au tour de kate maintenant :

Cette jeune fille plutôt charmante se prénomme Kate, elle fait parti de l'Ordre, et c'est elle qui ira chercher Dante au début du jeu. Elle est médium, c'est à dire qu'elle peut faire voyager son esprit (mais pas son corps) dans les Limbes, notamment pour donner des conseils à Dante pendant ses missions.

Le mystérieux homme masqué :

Ce mystérieux personnage est celui qui parle publiquement au nom de l'Ordre, on peut donc le considérer comme son leader (ou en tout cas un membre important). Son identité ne sera pas secrète longtemps pour le joueur mais chut (risque de spoil).

Vergil, le frère jumeau de Dante :

Le charismatique frère jumeau de Dante fera son apparition dans cet opus, sera-t-il de notre côté ou alors sera-t-il notre ennemi ? Je ne donnerais point de réponse ici, ou je me ferais tuer pour avoir balancé de gros spoil ^^

Tout ce que je peux dire, c'est que Vergil a perdu son charisme dans ce jeu (en tout cas c'est mon avis) et est devenue une petite merde sans cojones ^^

Mais qui sait, peut être que ce n'est qu'une façade ^^

Passons aux antagonistes :

Mundus :

Le grand méchant de DMC1 fait ici son come back en tant que grand méchant principal du jeu ^^

Il tient donc le monde par les cojones grâce à la dette et a la main mise sur les média et donc l'opinion que la société a des choses. Il est extrêmement puissant parmi les démons et est quasiment immortel grâce à la porte des enfers ouverte dans son bureau.

Bob Barbas :

"Bob Barbas, au service du Seigneur" voici sa phrase d'accroche sur Raptor News Network, la chaîne d'information.

C'est lui qui relate les informations que Mundus veut que la société entende, il fera quelques allocutions sur les actions de l'Ordre et de Dante.

Parlons maintenant du gameplay :

Ce jeu possède les bases du gameplay d'un DMC classique, à savoir alternance entre armes blanches et flingues.

Ici, on pourra obtenir des armes démoniaques et des armes angéliques. Ces dernière pourront être utilisées en maintenant respectivement les gâchettes R2 et L2 (pour la ps3), et on pourra changer ces armes avec les touches directionnelles gauche pour les angéliques et droite pour les démoniaques. On aura aussi la possibilité d'attirer les ennemis à soi ou de s'attirer sur les ennemis (un peu à la manière de Nero dans DMC4) ce qui aura pour conséquence d'agrandir la palette de combo disponible et de diversifier le gameplay. Il y aura aussi des phases que l'on peu qualifier de plateforme qui feront intervenir ces deux attirances.

Pour ce qui est des compétence, on pourra les augmenter grâce à des points différents des sphères rouges qui serviront à l'achat d'objets (comme dans DMC4).

Petit bémol, on perd la fonction de lock manuel mais celà ne dérangera qu'au début puisque cette supression prendra son sens en débloquant les deux types différents d'esquive (sur les bouton R1 et L1)

Le gameplay du jeu est vraiment très nerveux, très bourrin tout en ayant une assez grande flexibilité, on peut dire qu'on a les points fort de Dante et ceux de Nero, rendant ainsi le nouveau Dante assez jouissif à jouer.

Passons au graphismes :

Le jeu (notamment sur PC) est particulièrement beau et travaillé au niveau des graphismes.

On a une grande fluidité dans les mouvements (que ça soit ceux de Dante ou ceux des ennemis) qui contribue à rendre le jeu très agréable à jouer.

Au niveau du design des ennemis, on a quand même un pool d'ennemis suffisament variés et bien designés, et certain Boss seront dégueulasses mais dans le bon sens du terme ( ah bon y a un bon sens ?), je m'explique, certains boss auront un aspect vraiment hideux qui, en HD, est exacerbé ce qui les rend encore plus monstrueux et nous donne encore plus envie de les frapper ^^

Au niveau de la bande son maintenant :

Les musiques d'ambiance du jeu sont comme dans DMC3 assez rock, ou métalliques ce qui colle bien à l'ambiance du jeu assez sombre et rock par moments. On remarquera le thème récurrent : Never surrender de Combichrist qui rend les phases de combat excellentes.

Les doublages français sont plutôt pas mal (ce qui est rare) mais il y a un ou deux moment où on entend une réplique en anglais, ce qui peut faire bizarre ^^

On pourra aussi noter l'abondance de répliques poétiques et printanières comme :

"je vais t'arracher la tête, pisser dans ton cou, et chier sur ton cadavre de merde ! "

Niveau jouabilité :

le jeu est assez facile, mais il nous résiste à certains moments, ce qui est très appréciable, et qui fait que la difficulté est bien dosée. (et pour ceux qui sont en manque de sensations on a toujours le mode son of sparda, et les autres ^^).

Bilan des courses ?

Un jeu vraiment plaisant à jouer, un scénario assez simple mais prenant qui est une analogie de notre société actuelle sans pour autant la critiquer (à vous de voir de quoi je veux parler ;) ), des personnages bien ficelés, quelques références implicites ou non à la série d'origine.

Bref, achetez ce jeu vous ne serez pas déçus.

C'était Benj Oroboro, au service du seigneur ;)

Bonjour, bonsoir chers lecteurs,

comme promis, voici donc la suite de l'article sur Devil May Cry.

Aujourd'hui je vais commencer par le deuxième opus de la saga : Devil May Cry 2 (oui très original comme titre ^^)

Alors, donc comme on peut s'y attendre, pas énormément de changements par rapport au premier opus, on est toujours Dante, et on dérouille toujours la vermine démonique qui nous tombe dessus de partout avec notre épée et nos flingues.

l'histoire la voilà :

Nous allons devoir lutter aux côtés de Matier , une femme qui fait partie d'un ordre ayant combattu jadis avec notre père Sparda, et Lucia, une jeune chasseuse de démons, contre Arius, un horrible industriel à la tête de la compagnie Ouroboros (non je n'en fais pas partie ^^) qui s'est lancé dans l'occultisme et invoque des démons à tour de bras.

hmmmmmmouais, déjà rien qu'à lire le résumé de l'histoire on sens que ça va pas autant assurer que le premier épisode, mais bon, c'est un devil may cry alors même si le jeu est pas aussi bien que le premier c'est juste parce que le premier a mis la barre trop haut ^^

Alors, on peut constater des ajouts dans le gameplay qui sont appréciables.

Notamment : de nouvelles transformations diaboliques, possibilité d'améliorer ses armes pour augmenter ses dégâts, des mouvements plus fluides, des esquives plus importantes, et enfin la possibilité de jouer avec Lucia.

On constate aussi que par rapport au premier la difficulté du jeu a été énormément réduite, ce qui fait que le jeu a une durée de vie d'environs une dizaine d'heure.

Moi ce que j'en dis, c'est que ça aurai pu être une bonne idée de baisser la difficulté par rapport au premier, mais pas AUTANT. C'est simple , autant le premier était certe dur mais faisable une fois qu'on s'y habituait, autant DMC2 on peut le faire bourré avec un oeil, une main en tournant le dos à l'écran. ça gâche un peu le plaisir à jouer.

Au niveau des ennemis, bon bah trop de choses à dire dessus hein, on a plus de boss que dans le premier opus.

D'ailleurs chose amusante, on retrouve Phantom alors qu'on l'a un petit peu liquidé dans DMC premier du nom ^^

Bilan du jeu : Eh bien, on peut dire sans trop de risque que ce jeu est LARGEMENT en dessous de ce à quoi on peut s'attendre. Le scénario est pas très profond et très discutable (réapparition d'ennemis morts dans le 1).

Le fait de pouvoir jouer Lucia et une bonne idée mais n'apporte pas beaucoup au jeu.

Au final on a pas trop envie de refaire le jeu dans une autre difficulté après l'avoir fini.

Parlons maintenant du troisième opus de la série :

Devil May Cry 3 : l'éveil de Dante (en voilà un titre accrocheur ^^)

Ce jeu se situe chronologiquement avant le premier opus, et développe donc le passé de notre cher Dante.

L'histoire la voilà :

On est dans notre agence qui n'est pas encore ouverte car elle n'a pas de nom, on sort de notre douche torse-poil et le téléphone est en train de sonner. Nous nous installons donc à notre bureau et décrochons de façon classe le téléphone et nous débarasson de l'interlocuteur en lui disant que nous ne sommes pas ouverts, suite à quoi nous mangeons une part de pizza. C'est alors qu'un mystérieux inconnu entre et nous annonce que notre frère nous invite (à quoi ça c'est la question qu'on se pose à ce moment) puis s'en va, et des démons apparaissent soudainement. On dézingue rapidement ces démons et on se dirige vers la tour gigantesque qui est apparut en ville.

Attardons nous rapidement (oui s'attarder rapidement ça ne veux rien dire ^^) sur les principaux personnages du jeu :

-déjà, Dante :

Nous incarnons donc Dante alors qu'il est encore jeune. De ce fait, il est moins sérieux et plus "sauvage" que son alter ego plus agé. Ce qui d'ailleurs n'enlève rien au personnage, ça lui donne un coté plus fun, plus décontracté que dans les précédents opus, tout en gardant sa nonchalence naturelle. 

-le frère de Dante, Vergil :

Très charismatique, il sera l'antagoniste majeur du jeu. Il veut ouvrir la porte du monde des démons, autrefois scellée par son père (et donc celui de Dante) Sparda, pour récupérer le pouvoir laissé par celui-ci.

On pourra l'incarner dans l'édition spéciale du jeu, ce qui ravira ceux qui sont devenus fan du charismatique frère jumeau de Dante (ils se ressemblent vraiment plus quand Vergil a les cheveux baissés comme ceux de Dante).

-La mystérieuse jeune fille, Lady :

Jeune fille entourée de mystère que l'on aura l'occasion de croiser plusieurs fois et qui n'hésitera pas à nous tirer dessus (dont plusieurs fois à la tête). Lady n'est pas son vrai nom mais juste un surnom donné par Dante.

Parlons maintenant du gameplay :

Et bien il ne change pas énormément, il fallait s'y attendre hein ^^

On remarque quelques changements fortement appréciables, notamment le fait de pouvoir changer d'arme blanche et de gun en pleine partie (sans passer par le menu) en appuyant sur R2 et L2. On appréciera également l'arrivée des styles, qui donneront une fonction différente à la touche O et qui permettront d'adapter quelque peu Dante à notre façon de jouer. On pourra changer de style uniquement avant les missions ou auprès d'une statue du dieu du temps. Au niveau des armes, mis à part le fusil de chasse, on obtiendra toutes nos nouvelles armes sur des boss, et elles seront toutes plus ou moins stylées et/ou fun à utiliser (par exemple une guitare électrique).

Au niveau de la bande son du jeu, c'est tout simplement une extase sonore ^^

Bon j'exagère un petit peu mais c'est vrai que les musiques collent bien avec le nouveau côté Rock'N Roll et sauvage de Dante et c'est très sympa de dégommer du démon dans une ambiance rock ^^

Au niveau des ennemis, on a bien sûr quelques ennemis de base et leurs déclinaisons (classique quoi ^^), et des boss très travaillés graphiquement je trouve.

Au niveau des graphismes aussi, je trouve le jeu très beau (encore plus en version HD), les cinématiques et les mouvements en jeu sont fluides, on verra apparaitre du sang dans les cinématiques ce qui est un ajout sympa (on pense à DMC1 où Dante se fait empaler par alastor et ne saigne pas une goutte de sang ^^).

Ce jeu rattrape vraiment le bide du précédent ^^

Voilà c'est tout pour cette partie 2, la suite d'ici le week end prochain j'espère.

A bientôt, stay enjoy tout le monde, byebye.

Bonjour, bonsoir chers lecteurs.

Aujourd'hui je vais présenter une licence devenue aujourd'hui culte appartenant à Capcom,

je veux bien sûr parler de Devil May Cry.

On va commencer par la partie jeux-vidéo.

Alors, Devil may Cry est un Beat them all sorti sur PS2 le 13 décembre 2001

L'histoire est la suivante :

Vous êtes Dante, un chasseurs de démons possédant une agence qui accepte tous les boulot, le Devil May Cry.

Alors que vous êtes tranquille pépère dans votre bureau, une femme plutôt étrange entre et engage le combat.

Suite à quoi elle nous demandera d'aller sur l'île Mallet où Mundus l'empereur des démons a ouvert une brèche entre notre monde et le monde des démons.

On part donc armé de notre épée et de notre paire de flingues, Ebony et Ivory.

Le jeu est divisé en plusieurs "missions" ayant chacune un objectif particulier.

Entre chacune de ces missions, on pourra acheter de nouvelles techniques ou des objets grâce aux sphères rouges que l'on aura collecté en dézinguant des ennemis.

Au cours du jeu, on pourra obtenir de nouvelles armes qui viendront agrandir notre arsenal :

Alastor l'épée de foudre

Ifrit les gantelets de feu

Ainsi que d'autres armes à feu comme par exemple le fusil de chasse.

Au niveau du gameplay, le jeu alterne entre deux phase,

des phases d'exploration où on devra chercher des mécanismes, des passages, etc...

et des phases de combats où on affrontera nos ennemis en alternant combos à l'arme blanche et attaques à distance grâce aux armes à feu.

toujours au sujet des combats, lorsque vous frapperez vos ennemis, en fonction de votre habileté à enchainer les combos, vous obtiendrez des notes de style qui influerons sur la quantité de sphères rouges que vous obtiendrez.

Ces notes vont de Dull (bof) à SSSylish (stylé).

Parlons des ennemis maintenant,

alors que dire...et bien...pour moi le bestiaire est plutôt varié, on y retrouve des ennemis de bases, ainsi que leurs versions améliorées ainsi que d'autres monstres plus ardus à combattre, ainsi que leur déclinaison.

En ce qui concerne le scénario maintenant, et bien l'histoire est bien travaillée, on est parfois surpris par la tournure que prend les évènements, et on s'attache aux personnages (bien que peu nombreux).

Alors pour parler des graphismes : alors certes, maintenant ceux qui ont jamais joué à autre chose que des jeux HD sur consoles next gen diront que c'est moche, mais il faut quand même se dire que ce jeu est sorti sur PS2 en 2001 et donc en prenant en compte ce facteur, pour l'époque où il est sorti, le jeu était quand même plutôt beau.

Beaucoup de points positifs et peu de points négatifs, c'est ce qui a fait le succès de Devil May Cry, mais si je devais pointer du doigt les détails qui peuvent affecter l'expérience de jeu, j'aurai 2 choses à montrer :

Tout d'abord, la caméra : en effet, dans ce jeu, on ne dispose pas d'une caméra qui serait par exemple dans le dos de notre personnage et que l'on pourrait bouger à notre guise. Là c'est une caméra souvent fixe sur un plan de la scène et qui change quand on passe certains points du décor. Bon, dit comme ça, on voit pas le problème, mais si on considère que pendant un combat, si on bouge ne serait-ce qu'un tout petit peu, on peu se retrouver avec la caméra totalement mal placée (exemple : on ne se voit pas et/ou on ne voit pas les ennemis), ce qui fait un petit peu rager parfois.

Deuxième et dernier gros point négatif : alors c'est pas vraiment un point négatif pour tous le monde car très subjectif, c'est la difficulté du jeu. Je m'explique, ce jeu est clairement plus dur que tous les autres jeux du genre, ce qui fait que souvent, quand on commence à jouer pour la première fois, on meurt beaucoup au début.

Dit comme ça j'ai juste kair d'un kikoo certes mais c'est pas la seule chose que je peux dire sur la difficulté.

En effet le jeu propose un mode facile en cas de décès répétés dans les premières missions, mais bon...y a un trop grand écart avec le mode normal. J'ai testé c'est simple, mode normal, le jeu nous résiste bien ça va, mode facile, on éternue et on a terminé le jeu. Oui bon j'exagère un peu sur la fin mais c'est l'effet que ça donne.

Voilà, j'ai dis tout ce que je voulais dire sur ce jeu qui est le premier de la saga, pour éviter de faire un article de plusieurs kilomètres je vais couper ici, et faire cet article en plusieurs parties.

Donc, je vous dis à une prochaine fois pour la suite de cet article.

bye.

Avé les coupins !

Aujourd’hui je voudrai vous présenter un groupe de musique sur lequel j’ai un peu (beaucoup trop) forcé ces derniers jours,  un groupe qui pète sa race (et c’est le cas de le dire),  un groupe que je trouve juste épique : Kyo. 

En effet, leur manager a tellement de créativité qu'il a copié/collé le logo de Kellog's.

Et non ce n’est pas un groupe underground de beaux gosses mécheux qui joue dans des caves et des hangars, Kyo c’est bien plus que ça ! Kyo c’est un groupe underground de beaux gosses mécheux qui a commencé dans des caves et des hangars et qui produit du super beau son doublé de très beaux textes !

Bon pour ne pas passer pour une groupie invétérée, je vais vous faire une brève présentation du groupe :

Tout a commencé en 1994 quand 4 jeunes lycéens Ben , Flo, Nico et Fab  se trouvant une passion commune pour Nirvana, Radiohead ou bien Pearl Jam, décident de former leur propre groupe de pop rock français qu’ils nommeront Kyo.

Mais qui aurait osé s'appeler comme ça ?

Il faut tout d’abord savoir que le mot Kyo rend hommage à l’univers des jeux vidéo, or il se trouve que Kyo est le nom du héros principal de la série de jeux de combat The King of Fighters.

C’est leur deuxième album Le Chemin qui mène le groupe au succès, il atteint le million d'exemplaires vendus ; les quatre singles qui en furent extraits (dont Dernière danse) ont été les plus diffusés en 2003 ­ à la radio comme à la télévision.

Kyo c’est avant tout le groupe qui semble avoir trouvé, malgré les temps musicaux moroses (baisse des ventes de disques, «starac'adémisation» du marché), l'alchimie parfaite : musique énervée et mélodique, éclairée d'une voix androgyne qui chante le spleen adolescent en français…

C’est de la musique pour Bisounours dépressif...

Mais c’est toute la magie de Kyo! une adéquation totale entre le groupe et son public, (sur fond de frustration adolescente ?) ­ C’est un peu la définition que donne la société au rock de nos jours…et c’est ça qui est frustrant.

Ma fille en est folle de ce Kyo, c'est limite si elle ne connait pas la taille du zizi du chanteur. En plus je trouve ça bruyant et très frimeur.

Voilà, pour eux et pour la majorité des fans, ça donne : une jeunesse élevée à MTV, qui trompe l'ennui des banlieues résidentielles en faisant du skate, une jeunesse mondialiste mais pas vraiment, qui vote «blanc» ou vert à la limite ; qui n'a pas honte de s'avouer sentimentale mais n'a pas grand-chose à dire sur le reste, Une jeunesse qui, à l'instar de toutes les jeunesses, crache sur les «vieux» et fait du rock pour conjurer le temps qui passe…

Je ne peux pas écouter ce truc, ça fait déprimer... 

C’est justement ça qu’est bon j’ai envie de dire…On a tous besoin par moment de cette dose de bile noire pour casser la routine, si on ne se la procure pas à nous même elle viendra par surprise et t’achèveras sans doute…et c’est là que tu trouves refuge entre deux écouteurs, et/ou une joli bande de coupins.

C’est profond ce que tu dis…et si on revenait à Kyo ?

Oui oui, bon, je vous cite quelques chansons du groupe qui ont fait succès :

C’est ma faute

Comment te dire

Dernière dance (à consommer avec modération, testé et approuvé)

Le paradis brûle

Je saigne encore

Tout envoyé en l’air

Le Chemin

Et j’en passe…

Kyo c'est pas le groupe qui se sépare à cause du partage des sous dans leur groupe?

Taratata, en 2005 après la sortie du l’album 300 lésions le groupe annonce qu’il compte faire une pause avant un 4^ème album, les 4 garçons se séparent, et veulent se consacrer à des projets plus « personnel », ils ont envie de prendre "un peu de recul pour trouver de nouvelles idées". Ils précisent aussi : "On va aussi certainement travailler chacun de notre côté, avec d'autres gens ; » ce n’est donc pas une séparation définitive…D’ailleurs on dit même qu’ils vont faire leur coming out avec un 4^ème album en poche cette année. Croisons les doigts !

Milka